L’ivresse du voyage
Au bar du coin l’olibrius raconte. Il est complètement parti. Ce zinc c’est son aéronef, le comptoir celui de Saint-Louis du Sénégal ou de Pondichéry. Il est le Don Quichotte des bistrots.
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Au bar du coin l’olibrius raconte. Il est complètement parti. Ce zinc c’est son aéronef, le comptoir celui de Saint-Louis du Sénégal ou de Pondichéry. Il est le Don Quichotte des bistrots.
Lire la suiteNulle part plus qu’en voyage, entre arrivées, départs et connexions, « correspondance » ne signifie mieux son rapport entre des lieux, des choses et des êtres sans lien apparent.
Lire la suiteVoyager c’est choisir, au lieu de venir au monde, d’y aller et d’en être, c’est un acte de naissance qui redéfinit son rapport au monde et aux autres.
Lire la suiteVoyager réordonne ses notions d’important et de grave et renvoie beaucoup de son quotidien dans le presque insignifiant. Ça c’est la (belle?) théorie, l’abstraction qui vante le voyage comme un révélateur du monde et de soi. La réalité est plus…
Lire la suiteComme le poète fou de son insaisissable muse, aimer voyager c’est vouloir en vain étreindre un monde trop immense, et perdre l’équilibre à force d’essayer de l’embrasser en se tenant sur la pointe des pieds, tomber des nues et, comme…
Lire la suiteMélanie, du blog Mystinguette Corner, a recueilli mes digressions pour une interview dans le cadre de sa belle rubrique « Et si on parlait de voyages… »
Lire la suiteSur la route on tombe aussi, comme à la renverse, sur des congénères, des compagnons de fortune − les ceux qui se promènent parce que. Ce n’est pas parce qu’ils voyagent que nous sommes pareils, mais c’est parce que nous voyageons…
Lire la suiteArrive un moment où le voyageur ne s’enquiert plus de savoir « quand est-ce qu’on arrive », il s’en fout. Il arrivera un peu plus tôt, un peu plus tard, de toutes façons, et pour partir encore ailleurs, un peu avant, un…
Lire la suiteEt puis un jour la route devient vraiment une autre vie qui entraîne, porte, berce, fatigue et émerveille, engueule, culbute ou attache. De nouvelles habitudes prennent corps.
Lire la suiteAprès 60 jours de pérégrination, le voyageur, quoi qu’encore novice, peut-il considérer avoir fait ses premiers pas dans le monde, avoir passé une espèce d’épreuve du feu, être quelque peu initié à la route ? Les heures passées à cuire…
Lire la suiteUne idée édulcorée des ricochets que fait l’aspirant globe-trotter avant de s’envoler (en simultané, en séquentiel, dans l’ordre ou le désordre). L’euphorie : C’est l’été en hiver; tout d’un coup la planète est une marelle gagnante et ça va être un chemin…
Lire la suiteA en croire les absolutistes, en plus de n’être surtout pas organisé, le voyage moderne devrait être une espèce de gymkhana dans un monde à la M.C. Escher; la panacée semble être le hors sentier battus qui conduit tout droit…
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