Bonne arrivée au Burkina Faso : Ouagadougou
Il n’y a rien à voir à Ouagadougou que l’agitation poudroyante d’une capitale aride et détrempée, la réalité très méthodique d’un apparent chaos.
Lire la suiteIl n’y a rien à voir à Ouagadougou que l’agitation poudroyante d’une capitale aride et détrempée, la réalité très méthodique d’un apparent chaos.
Lire la suiteLe baobab en plus d’être un arbre particulier, c’est des palabres, des légendes, des mémoires plusieurs fois centenaires …
Lire la suiteÊtre sur la mer c’est déjà tout un poème, et un peu se prendre pour Jésus marchant sur les eaux aussi. La nuit en mer c’est pire
Lire la suitePar essence, le désert étire toute chose et réduit le reste en particule, et le Wadi Rum à ce titre est absolu.
Lire la suiteSur le site de Pétra, partout, le minéral s’exprime, suinte, affiche ses couleurs, conte ses années, crache sa matière fluide, raconte des histoires, n’arrête pas de réverbérer, rayonner, réfléchir.
Lire la suiteIl y a les voyages que l’on a déjà fait ceux que l’on fera, les promesses de voyages que l’on tiendra peut-être, et puis ceux que l’on ne fera pas, jamais.
Lire la suiteQuelques jours de déambulations à Porto et Lisbonne, curieusement presque moins « portugaises » que leurs colonies outre-atlantique…
Lire la suiteLivrer le récit de ses voyages c’est, même involontairement, adopter un prisme déformant, décider d’un angle: faire rêver le plus souvent ou décourager quelquefois.
Lire la suiteLes odeurs, en voyage plus encore, sont des fictions intouchables, des effervescences invisibles, des émanations instables, invasives, pénétrantes de rien, des associations libres.
Lire la suitePartir au long cours c’était obscurément se prendre pour un héros solitaire, intrépide et sauvage. Revenir c’est devoir endosser le rôle, l’accepter, le vivre malgré que le voyage n’ait ni été particulièrement épique ni n’ait changé la face du monde.
Lire la suiteTraverser l’Atlantique en cargo est tout un art, incongru, fainéant, d’occuper des heures de navigation lente, lourde et déconnectée sans perturber un équipage généralement circonspect.
Lire la suiteA Trifouillis-les-Oies comme à Dache, au Diable Vauvert ou chez les grecs il y a des gens qui mènent leur petit train-train quotidien. Dans un décor somptueux ou abominable, leur organisation apparaît éventuellement déconcertante, la consonance de leur langue curieuse, leurs mœurs et…
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